C'est avec grande joie que nous accueillerons très bientôt Allen Pittman par chez nous.
Léo Tamaki sera à Liège du 03 au 05 avril à l'invitation d'Arnaud Lejeune. ...
Sortir de la zone de confort, c’est aussi accepter de se remettre en question perpétuellement et de pratiquer avec d’autres professeurs et donc de participer aux…stages.Il y a un clivage très net entre deux genres de pratiquants d’aïkido. Il y a ceux qui se contentent de suivre l’enseignement qui est donné au sein de leur club, sans jamais s’ouvrir vers l’extérieur en participant à des stages, que ce soient des stages sur un week-end ou des stages d’une semaine, qui ont lieu en général en été. Et puis il y a les autres. Attention, il n’est pas question ici de porter un jugement ou d’incriminer ceux qui ne vont pas en stage, chacun gère sa vie, chacun fait ses choix, et chacun a ses impératifs qui ne regardent que lui. En Aïkido un professeur n’est pas là pour juger, mais seulement pour donner, ce qui en soit est du bonheur pur. Parfois des élèves tiennent le raisonnement suivant : « mon professeur est excellent et me donne tout ce dont j’ai besoin, pourquoi aller en stage ? ». On peut objecter à ces personnes que s’ils ne connaissent que leur professeur, ils n’ont pas de comparaison possible, donc il leur est difficile de savoir si leur professeur est réellement excellent.
La participation à des stages, quelque soit la personne qui le dirige, vous permet de rencontrer d’autres aïkidokas, de confronter des expériences, de partager du vécu, et aussi de vous faire des amis.Cela vous donne le sentiment d’être « relié », de n’être pas isolé et de faire partie de la « famille » de l’Aïkido. C’est une formidable bouffée d’oxygène dans un monde où il est parfois difficile de respirer.
Rencontrer des gens intéressants...